Attention ! C’est là que tout se corse : les cris, les pleurs, les couches, les maladies et les vélos à monter le soir de Noël, tout doit alors être multiplié par deux. La vie se retrouve rythmée par les “c’est pas moi, c’est lui” et autres “non, ça c’est à moi”. Impossible de les séparer, au propre comme au figuré, puisque si l’un des deux vient à s’absenter, l’autre n’aura de cesse de le réclamer… jusqu’à ce que, enfin réunis, ils recommencent à se bagarrer. Un gosse ça va, deux gosses… bonjour les dégâts !