En regardant longuement le jardin de Louve-ciennes, en l'écoutant avec patience, en attendant sa transformation corporelle en mots chargés de sensations, on n'atteint peut-être pas le tout, mais on découvre qu'on est en lui, même si nous ne pouvons le percevoir que par ces brèves intermittences qui sont la fête de l'existence.
HENRY BAUCHAU