dans sa perception profonde du Royaume de Dieu, au-delà d'approches morales ou sociales. Il signa de sa mort son engagement au service du Royaume : " Une vie sauvée par une lâcheté, avait-il écrit, est pire que la mort [...]. Il y a une intensité et une
qualité d'existence plus grandes dans l'acte de mourir pour être fidèle au devoir, que dans une vie comblée, sauvée par la lâcheté. Suivant qu'on admet cela ou qu'on le refuse, on montre que l'on
croit aux valeurs spirituelles ou qu'on les rejette. "