Lorsque Dieu apprit, par ses services spéciaux, et même très spéciaux, tout ce qui se passait dans le métro, il décida d'y faire une descente, pour se rendre compte, par lui-même, de la situation. Malgré la cohue, il arriva sans encombre, jusque sur le quai. Il faut dire qu'il n'était pas très encombrant. Il voyageait sans billet, mais il était honnête. N'avait-il pas dit : " Lorsque je reviendrai, ce sera comme un voleur " ? En vingt ans, depuis la première édition de cet ouvrage, le métro a bien changé, " Dieu dans le métro " aussi.