d’émotions. Les auteurs du crime se réjouissent de leur
oeuvre de mort. La foule des anonymes montre son
empathie pour les victimes. On le constate tous les jours :
dépôt de fleurs, manifestations diverses…
L’exécution de Jésus n’échappe pas à cette réalité.
J’ai essayé de faire dire à Caïphe, Pilate, Pierre, Marie
Madeleine et aux autres leur ressenti au soir du vendredi.
Cela pour que nous exprimions à notre tour notre émotion.