Après les Psaumes du bel amour, Gérard Bocholier donne avec ces Psaumes de l'espérance le deuxième volet d'un tryptique de poétique théologale. Les poèmes confessent une Présence ; ils ne cherchent pas à la saisir, mais plutôt à l'accueillir dans l'espace de la parole ouverte comme la paume d'une main orante. Comme l'écrit Philippe Jaccottet dans son envoi à l'auteur : « Vos poèmes sonnent juste d'un bout à l'autre, ils disent des choses délicates sans mièvrerie, des choses graves sans peser jamais. Ils accompagnent le lecteur comme une ombre amie, discrète, et cette ombre est quelque chose comme Dieu ! »
Après les Psaumes du bel amour, Gérard Bocholier donne avec ces Psaumes de l'espérance le deuxième volet d'un tryptique de poétique théologale. Les poèmes confessent une Présence ; ils ne cherchent pas à la saisir, mais plutôt à l'accueillir dans l'espace de la parole ouverte comme la paume d'une main orante. Comme l'écrit Philippe Jaccottet dans son envoi à l'auteur : « Vos poèmes sonnent juste d'un bout à l'autre, ils disent des choses délicates sans mièvrerie, des choses graves sans peser jamais. Ils accompagnent le lecteur comme une ombre amie, discrète, et cette ombre est quelque chose comme Dieu ! »