La fécondité spirituelle de l'Église n'est pas quelque chose que l'on fabrique ! Elle s'ancre sur la vitalité des communautés de base. Mais lorsqu'apparaissent les tensions entre ces communautés qui veulent faire valoir leurs droits aux sacrements, etc. et que l'Église universelle, perçue comme une organisation d'ensemble, ne propose plus de vocations, on en vient à penser que les attentes de la base et du sommet sont inconciliables ou qu'il suffit de changer les règles de recrutement de candidats au sacerdoce, etc. Ici le cardinal en clarifiant les relations entre la communauté locale, particulière et l'Église universelle, précise les frontières de l'appartenance à l'église, d'oecuménisme, l'unité se recevant de l'eucharistie et de l'Église, et la vitalité se créant grâce aux personnalités charismatiques, cellules vivantes permettant à l'Église de reprendre sa croissance. Des propos qui s'appuient sur l'exemple de l'Église d'Amérique et sur les communautés telles que Taizé, etc...