Il écrit « fascisme », car il démontre que « malheureusement, à force de matraquage par l'extrême gauche en majesté médiatique, ce mot, historiquement précisément marqué, a été dénaturé, dévalué, galvaudé. Mais j'ai écrit fascisme d'extrême-gauche, pour me faire comprendre immédiatement et émotionnellement, par souci premier d'efficacité. »
C'est tout le sens et la finalité de ce manuel. Celui qui l’a écrit s'inscrit dans le combat culturel.
Il sait la gauche habile à l'extrême dans ce combat où gagner la bataille de l'émotion est essentiel.
La bataille des idées, la gauche sait qu'elle l’a peut-être perdue depuis quelque temps.
Elle n'ose plus nier comme elle le faisait effrontément la laideur ou les dangers cruels de l'islamisme. Raison pourquoi elle ne se bat plus que sur le terrain de l'émotion où elle peut encore l'emporter en quelques instants, par la grâce disgracieuse de ses médias, sans faire appel à la raison.
La bataille culturelle qui se joue est une bataille existentielle. Puisqu'il va de notre identité comme de notre sécurité.
Ce manuel est un vade-mecum. Il propose des recettes simples telles que de traiter l'adversaire par la dérision plutôt que par la colère. De ne pas s'offusquer des étiquettes ( « fachos » !, « extrême-droite ! » , « raciste ! » etc…) dont l'extrême gauche fasciste vous affuble puisque elles ne peuvent plus piquer profondément, ayant largement perdu son magistère intellectuel et moral.
Il préconise de pratiquer le cambronisme tranquille.
De rendre coup pour coup : on vous parle chaque jour de la traite transatlantique ? Rappelez donc l’esclavage arabique et les razzias barbaresques en France. De dénoncer une imposture morale qui tient davantage de l'escroquerie de l'art contemporain que de la politique rationnelle.
Enfin : « N’'ayez aucun complexe de supériorité ou d'infériorité : Que vous soyez blancs ou noirs, soyez le sans honte. Ni vanité. N'aimez pas votre adversaire d'extrême-gauche, mais ne pratiquez ni la haine ni la vulgarité. Ce serait faire un cadeau à l’ennemi. N'ayez plus peur. C'est la leçon numéro un du manuel qui commence. »