“Un roman élégant et envoûtant sur la guerre, l’art et la mémoire. Une histoire d’une beauté sans fin.” Independant
Malaisie, 1951.
La Seconde Guerre mondiale est finie depuis six ans lorsque Teoh Yun Ling se décide à quitter Kuala Lumpur pour rejoindre les montagnes qui s’élèvent au coeur du pays. C’est là que s’est retiré Nakamura Aritomo, l’ancien jardinier de l’empereur du Japon, l’homme qui pourra l’aider à honorer la promesse faite à sa soeur : créer le plus beau des jardins. Celui dans lequel elles se réfugiaient en pensée pour survivre dans le camp d'internement japonais où elles ont passé la guerre… et dont sa soeur n’est jamais revenue.
Tiraillée entre son serment et sa soif de vengeance, Teoh Yun Ling débute un apprentissage auprès de l’énigmatique Aritomo.
Tandis que l’insurrection communiste fait rage dans le pays, des liens se nouent entre ces deux êtres, le maître et l’élève, que la vie aurait dû irrémédiablement séparer.
Roman de l’affrontement entre la barbarie et la civilisation, Le Chant du héron au crépuscule est une subtile quête identitaire portée par un style poétique d’une grande finesse.
« Élégant et envoûtant. » The Times