Une jeune fille bien née comme on naît du soleil et de la beauté... La rencontre avec Arezki, l'Algérien, lui fait goûter le fruit de la connaissance, non pas la connaissance qui frappe Adam et Eve au jardin d'Eden mais celle du fruit de la parole, de la pensée, de ce qui est différent, étrange, opposé même...
Alors que l'Histoire des hommes bruissait, une histoire sauvage, tragique, féroce, nos deux jeunes gens portaient en eux le fruit de joies fertiles qui leur permirent ensuite, malgré Le bateau de vivre et survivre, de construire et surtout de témoigner... Survivants, oui, ils ont tous deux survécu dans la surabondance de leur quête.»
Extrait de la postface de Karima Berger.