Mais, parfois, l’écoute devient accompagnement. Parce qu’un proche éprouve le besoin de se confier. Parce qu’un parent supporte mal de vieillir. Parce qu’un collègue vit un deuil douloureux. Nous sommes alors confrontés à la souffrance, la séparation, la maladie, le deuil. Nous pouvons en être déstabilisés et nous « perdre » dans cet accompagnement. Nous risquons de fournir à l’écouté des solutions « clé en main ».
Convaincue qu’accompagner peut aussi s’avérer riche et bénéfique, Corinne Nême-Peyron nous encourage et nous guide vers une écoute active, respectueuse, libératrice. Comme un signe de l’amour reçu et donné.