Depuis le motu proprio de 2007 par lequel Benoît XVI a libéralisé l'usage de la messe en latin, le conflit opposant progressistes et traditionalistes semble avoir repris de la vigueur. Mais, comme le montre Marc Levatois, l'instrumentalisation de cette question cache un questionnement plus profond, sur la nature même du sacré et les modalités de son inscription dans l'espace.