Le nuage d’inconnaissance
Ce texte mystique anonyme du XIVe siècle se situe dans la pure lignée de la « contemplation obscure » qui va de Denys l’Aréopagite à Thérèse de Lisieux en passant par la « docte ignorance » de Nicolas de Cuse et la « nuit » de Jean de la Croix. L’austérité de cette tradition est tempérée ici par une modération toute anglaise, à laquelle la traduction d’Armel Guerne a su garder sa saveur archaïsante.
Traduit de l’anglais par Armel Guerne