Loin de faire du souverain pontife un prélat marxiste, ce propos s’inscrit dans la lignée d’une doctrine sociale de l’Église qui a toujours considéré avec méfiance les credos de l’économie capitaliste.
Pourquoi, dès lors, les positions du magistère catholique en matière d’économie restent-elles aussi peu lisibles, aussi peu discutées, à l’inverse de celles concernant la bioéthique et la morale sexuelle ?