Lara a mal. Comme un animal, une douleur physique, un nœud, une bête à la place du plexus qui l’empêche de manger, de boire, de respirer. Les larmes coulent mais ne servent à rien. Mal au point de vouloir rester couchée, disparaître, engloutie, dans le ventre de la terre.
Mais elle a deux petites filles, pour lesquelles elle doit, elle va se battre.
Alors Lara se relève, prend une valise et ses filles sous le bras et laisse le bellâtre à ses phéromones. Elle part. Divorce. Fini. Zou ! Pour découvrir qu’au-delà de la rupture, il existe une autre femme, plus forte, plus grande, plus rayonnante : la vraie Lara.
Cette séparation ne serait-elle pas la chance de sa vie ?
Dans cette réflexion sur le divorce, des douleurs de la séparation à l’étourdissement de la reconstruction, Valérie McGarry explore, sans apitoiement et sans concessions, l’âme d’une femme meurtrie qui renaît de ses cendres. Pour le meilleur.