Afin d’échapper à la mort, il se terre chez lui le jour et ne quitte son poste d’observation qu’à la tombée du soir pour nous conter les histoires les plus abracadabrantes qui pullulent dans un pays en proie à la peur.
Avec L’allumeur de rêves berbères, Fellag met le feu à l’imaginaire d’un peuple qui cultive l’élégance suprême : celle de rire de ses malheurs.