Les anagrammes sont souvent en tenue légère, parfois même dans leur plus simple appareil. Elles multiplient les galipettes et les polissonneries. D'autres fois, elles suggèrent en finesse, content fleurette, et vont jusqu'à brûler d'un désir éperdu.
Décidément, la langue de Molière porte en germe le génie de l'amour.