Ces questions ont trait avant tout aux visions déterministe et libertarienne de la volonté humaine, mais aussi au rapport complexe entre le choix individuel de celui qui « veut mourir » et le contexte collectif dans lequel s'inscrit ce choix. Les cas de la Belgique et de la Suisse sont analysés, comme celui des États-Unis (notamment l'Oregon), et bien sûr, la pratique française structurée par la loi Claeys-Leonetti. L' « obsession de la compassion » est critiquée sans concession, tout autant que les dérives qui peuvent mener à une « obstination palliative ».
Sans polémique, cet ouvrage ne plaide que pour une attention envers l'humain dans toute sa complexité.