Assez de contorsions, assez de démagogie !
L'heure est trop grave pour s'adonner aux jeux d'appareils et aux concours d'egos.
Loin de l'esprit munichois qui transpire, aujourd'hui, jusqu'au sommet de l'Etat, ce défi nous rappelle la phrase de Clemenceau : en politique, « il faut savoir ce que l'on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage dele dire ; quand on le dit, il faut avoir le couragede le faire ». C'est à cette tâche que je m'attelle, dès aujourd'hui, avec vous.