Jean-Yves Leloup, qui travaille depuis toujours sur cette question, nous livre ici la synthèse de ses travaux. Il montre comment le symbolisme sexuel, omniprésent -même si c'est en filigrane - dans l'ésotérisme juif dès l'époque la plus reculée, ne peut qu'avoir eu une influence profonde sur le premier christianisme. De même, les évangiles gnostiques permettent de mieux mesurer la place du sexe dans la foi chrétienne des premiers siècles, ainsi que la place de Marie-Madeleine comme épouse mystique du Christ. Son propos précis et sans tabou n'entend pas scandaliser, mais stimuler notre étonnement face au « réalisme de l'Incarnation ».
Jean-Yves Leloup, qui travaille depuis toujours sur cette question, nous livre ici la synthèse de ses travaux. Il montre comment le symbolisme sexuel, omniprésent -même si c'est en filigrane - dans l'ésotérisme juif dès l'époque la plus reculée, ne peut qu'avoir eu une influence profonde sur le premier christianisme. De même, les évangiles gnostiques permettent de mieux mesurer la place du sexe dans la foi chrétienne des premiers siècles, ainsi que la place de Marie-Madeleine comme épouse mystique du Christ. Son propos précis et sans tabou n'entend pas scandaliser, mais stimuler notre étonnement face au « réalisme de l'Incarnation ».